Mon parcours

Je me présente Nathalie POVEDA, ostéopathe de cœur et de métier, maman mais aussi sophrologue écoutante…

J’ai découvert l’ostéopathie très jeune. Vous aller découvrir comment.

Tout à commencé quand mon frère a eu une entrée dans le monde très particulière. Suite à une erreur médicale et à un mauvais jugement du praticien lors de l’accouchement celui-ci a été en grande souffrance fœtale et il en est résulté un plexus brachial droit (rupture quasi complète des nerfs du membre supérieur). Ce qui a aussi engendré une souffrance maternelle- parentale qui nous a fait consulter des praticiens sur le plan corporel, médical mais aussi sur le plan psychologique. J’ai donc eu une enfance bercée dans le monde du médical et paramédical afin de soulager, traiter, guérir ou simplement écouter la douleur que notre famille a vécue. J’ai pu donc être au contact de nombreux praticiens de toute sorte des plus cartésiens aux plus mystiques. De cette expérience j’en ai tiré une philosophie de vie : d’aider, d’écouter et de comprendre la douleur quelle qu’elle soit.
Pour ma part il est inconcevable d’avoir mal et de juger la douleur. Si une personne a mal faut l’entendre, l’écouter, la comprendre et agir à la genèse. J’ai donc au travers du passé découvert l’ostéopathie qui fut ma première histoire d’amour.

Une méthodologie d’écoute, de bienveillance qui s’appuie sur l’anatomie, les connaissances du monde de la santé moderne … qui s’explique, se reproduit mais tout en s’adaptant à chaque être vivant. Il faut donc avoir du cœur, de l’esprit et des connaissances pour agir avec nos mains. Voilà ce qui me caractérise et me fait vibrer. Un véritable art.
Plus tard et au fil de mes rencontres avec les patients j’ai appris à toujours me remettre en question et à chercher toujours plus d’information, de formation. A mieux écouter et à être plus pertinente. Une main de fer dans un gant de velours. Mais aussi des mains intelligentes.
Le toucher se travaille, s’améliore et permet au corps de s’exprimer et se faire comprendre avec finesse, douceur et « amour ».

Puis au bout de dix ans de travail d’ostéopathie, je me retrouve face à un certain patient que je ne peux aider. Son lâcher prise n’était pas possible. Trop d’éducation, de peur, de blessures ou de stress n’ont pas permis la possibilité d’une prise en charge ostéopathique. L’esprit était trop présent sur le corps et la douleur en résultait … voilà pourquoi après 3 ans d’hésitation, de questionnement je me suis jetée dans l’inconnu de la sophrologie.

Une belle découverte, un amour de thérapie et une possible passerelle pour remédier, aider, soulager… l’autre. Après donc une formation complète, je peux prétendre au titre de sophrologue et peux donc utiliser ma voie, mon imaginaire, mon écoute active afin d’aider à obtenir un état sophroliminal (semi-hypnose) de détente et ainsi développer la cohésion entre le corps et son expression somatique profonde, son émotionnel.